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FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
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FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Facteur rural à moto vers 1933 (la moto doit être plus ancienne que la date du cliché)
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Dernière édition par Admin le Mar 6 Fév - 23:28, édité 1 fois
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Le facteur arrive et le chien berger attend ...pour se manifester...pour lui .. casquette, cape au vent, bicyclette tout y est.
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Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Facteur en échasses landaises !
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Dernière édition par Admin le Jeu 30 Mai - 21:06, édité 1 fois
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Cette postière relève le courrier,
Paris - 1900
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Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Facteurs en tenue d'époque mais qui peut me le dire.
XIXE siècle?
Ils sont âgés ,deux s'appuyant sur une canne (emploi réservé au retour de la guerre 1870).
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Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
1955 SOUVENIR d'un facteur en tournée dans une rue de PARIS!
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Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
"Berger échassié
Voici des échasses exceptionnellement hautes.
Grâce à elles, le berger peut admirer le paysage de fort loin et son troupeau en particulier.
Un berger ne doit pas perdre son temps, ici il est en train de tricoter."
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=761182520945924&set=p.761182520945924&type=3&theater
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Il court dans les campagnes de méchantes histoires sur le compte des receveuses des Postes.
On les dit potinières, curieuses et même indiscrètes, on les accuse de lire le courrier qu'elles ont mission de faire circuler. En premier lieu, naturellement, les cartes postales, qui voyagent à découvert. On raconte qu'elles narrent avec délice, dans des « thés » offerts au percepteur, au secrétaire de mairie ou au brigadier de gendarmerie, les petits secrets du pays. En vérité, les dames-employées de la Poste, comme on les appelle, exercent leur métier avec conscience et discrétion. Elles le font pour 90 F par mois. Avec ce traitement, il leur faut non seulement se nourrir mais « garder un rang », c'est-à-dire avoir une mise correcte. Et se taire.
L'échelon final, auquel chacune aspire, est celui de receveuse de 2e ou de 3e classe. Jadis réservée à des militaires en retraite, cette fonction est maintenant dévolue aux femmes, avec une préférence pour les veuves d'employés. Dans sa petite commune rurale, la dame-receveuse des Postes fait partie des personnalités. Elle peut disposer d'agents auxiliaires, qu'elle rémunère directement au moyen des « frais d'aide » qui lui sont alloués par l'Administration. À cette aide vient s'ajouter une modeste allocation perçue pour l'achat de l'équipement du bureau.
Ces fournitures comprennent, par exemple, le mobilier de la salle d'attente, les panneaux destinés à recevoir les notes de service, une carte de l'arrondissement, une balance Roberval, un pèse-lettres, une pendule et divers autres matériels, dont les encriers, les plumes et les buvards mis à la disposition du public.
On entre à la Poste par concours. Pour concourir, il faut avoir entre 18 et 25 ans, et une taille minimale. Celle qui mesure moins de 1,50 m n'en est pas jugée digne. En revanche, toute fille, épouse ou soeur d'un employé est admise en priorité au concours. Comme le sont également les élèves des maisons d'éducation de la Légion d'honneur et, en troisième position, les aides ayant exercé leur fonction aux PTT pendant deux ans au moins. L'accès à la fonction d'aide de l'Administration postale est possible à partir de l'âge de 16 ans et comporte un petit examen d'aptitude.
Pour « entrer dans les Postes », il est indispensable d'avoir réussi son certificat d'études primaires. La candidate se doit aussi d'être d'une moralité irréprochable. Pour le prouver, elle doit fournir à l'Administration un certificat de bonne vie et moeurs ainsi qu'un extrait de casier judiciaire. Il lui faut aussi un certificat médical attestant de sa bonne santé. Le concours comporte la copie d'un tableau, une rédaction, un problème d'arithmétique, une question de géographie.
À la Poste, le salaire n'est pas très élevé, mais la dame-employée bénéficie d'une situation stable et d'une retraite après trente ans de service. Elle a, en outre, droit à quinze jours de vacances payées par an, chose rare à l'époque. Naturellement, il lui est indispensable de se conformer aux règles de l'Administration. Si, par exemple, la demoiselle des Postes désire convoler en justes noces, elle doit d'abord en informer sa hiérarchie et obtenir son approbation après lui avoir fourni tous les renseignements concernant son futur mari. Pour cela, il lui faut joindre à sa demande un certificat de bonne vie et moeurs concernant celui-ci, ainsi qu'un papier officiel attestant de sa nationalité française.
Il faut, de surcroît, que son « futur » n'occupe aucune fonction de police. Il lui est en effet interdit d'épouser un commissaire de police, un gendarme ou même un maire ou son adjoint. Une fois ces formalités accomplies, la demoiselle attendra sagement l'autorisation du sous-secrétaire d'État aux PTT avant de fixer la date de son mariage !
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
1917 SOUVENIR des premieres factrices Parisiennes.Elles remplaçaient les hommes partis au front!
https://www.facebook.com/1560218104191246/photos/a.1560232317523158/2385741128305602/?type=3&theater
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Bicyclettes pour tous les facteurs !
s’écrie-t-on en 1897
s’écrie-t-on en 1897
(D’après « La concurrence étrangère, les transports par terre
et par mer : documents pour servir à l’histoire économique
de la Troisième République » (Tome 2) paru en 1897)
En 1897, et à l’occasion de la récente décision ministérielle de doter les télégraphistes parisiens de bicyclettes afin d’assurer une meilleure distribution des dépêches, Paul Vibert plaide en faveur d’une extension de cet usage à l’ensemble des facteurs ruraux de France, qui n’ont pour la plupart encore que leurs pieds pour seul moyen de locomotion en dépit de la loi de finances du 28 avril 1893 exonérant de taxe les agents qui utilisent le vélocipède pour le service
M. Lebon, ministre du Commerce, de l’Industrie et des Télégraphes, est un jeune de beaucoup d’initiative qui ne manque pas de coup d’œil, quoi que l’on puisse dire, écrit Vibert ; aussi vient-il de prendre, sur la proposition de M. de Selves, directeur général des Postes et Télégraphes, une excellente mesure qui sera appréciée de tout le monde les petits télégraphistes, à Paris, vont être munis de bicyclettes.
Aussi les malheureuses dépêches, les petits bleus, comme l’on dit, ne vont plus mettre trois heures, espérons-le, pour arriver à destination, tandis que généralement on pourrait porter une dépêche soi-même à pied en une demi-heure.
C’est donc un progrès et un progrès sérieux dont nous ne saurions trop remercier l’intelligent Ministre du Commerce. C’est bien, sans doute, mais ce n’est point suffisant, et il convient de ne pas s’arrêter en si bon chemin. Il faut accomplir la réforme tout entière, autrement dit il faut s’empresser de donner des bicyclettes à tous les facteurs ruraux de toute la France et... de toutes tes colonies, par tout ou les routes le permettent, se félicite Vibert.
Que l’on ne vienne pas nous objecter la dépense ; il ne serait pas difficile d’en faire supporter tout le poids aux facteurs ruraux eux-mêmes, en les remboursant par mensualité, comme on le fait pour les petits bicyclistes du télégraphe à Paris.
Ou plutôt il ne serait pas difficile de s’entendre avec une des premières maisons de fabrication française, pour obtenir un trentaine de mille de bicyclettes à crédit, dont les paiements seraient échelonnés et de la sorte la charge pour les facteurs ruraux aussi bien que pour le Trésor deviendrait insignifiante, par cela même qu’elle pourrait être facilement répartie sur une assez longue période de temps. Il n’est pas de maison qui ne consentirait à un arrangement de cette sorte, étant absolument certaine d’être payée.
Mettons qu’il y ait 38 000 communes en France, en retranchant les villes et les communes très petites, très agglomérées, je suis persuadé que l’on pourrait à peu près pourvoir intégralement tous les facteurs ruraux de France avec 30 000 bicyclettes, peut-être moins. Et voyez du coup les avantages les lettres, la correspondance arrivent beaucoup plus vite à destination, et, chose qui n’est pas à dédaigner, les facteurs ruraux, ces modestes mais dévoués fonctionnaires sont, du même coup, moitié moins retenus dans la journée, et – point capital – moitié moins fatigués. Ils ne pourront pas aller de porte en porte avec leur machine, me dira-t-on. Parfaitement.
C’est entendu, et je le sais, mais on n’ignore pas qu’ils doivent aller à la ville voisine, au chef-lieu de canton en général, au bureau de poste en un mot chercher leur correspondance et que, pour retourner dans leur village, ils ont souvent un trajet considérable à effectuer. C’est ce trajet aller et-retour qu’ils pourront faire en bicyclette et il leur sera toujours facile de la remiser la matin dans une maison à rentrée du village et de la reprendre le soir ou le lendemain matin, suivant les besoins du service.
Mais ce n’est pas tout, il y a des masses de facteurs ruraux qui ont une course énorme à faire pour porter une lettre dans une ferme isolée et qui même doivent faire plusieurs lieues tous les jours pour porter un journal dans un château perdu au milieu des bois c’est là où la bicyclette doit intervenir et rendre d’immenses services aux pauvres facteurs champêtres, et cela d’autant plus facile- ment que, fort heureusement, nous avons partout en France d’excellentes routes, incapables de faire le moindre accroc aux pneumatiques les plus délicats en général.
Et si j’insiste si particulièrement et si énergiquement sur l’impérieuse nécessité de donner des bicyclettes à tous les facteurs ruraux, c’est que je crois que l’heure est venue de réaliser cet immense progrès.
Moi, le petit neveu de l’un des premiers inventeurs des vélocipèdes au commencement de ce siècle, poursuit Vibert, il y a déjà longues années que je songeais à demander cela, mais devant les perfectionnements de chaque jour et les progrès incessants de la bicyclette, je pensais qu’il était peut-être plus sage d’attendre.
Aujourd’hui tous les perfectionnements, ou à peu près, ont été apportés aux machines et l’on se trouve en face d’instruments très solides, très légers et relativement très bon marché. Je me garde bien de citer le nom d’une maison, mais j’ai la conviction que le gouvernement pourrait réaliser très facilement cette grosse commande de 30 000 bicyclettes au mieux de ses intérêts et pour la plus grande satisfaction de tous, puisque le public aurait sa correspondance beaucoup plus vite, non seulement a cause de la distribution, mais à cause du prompt retour aux bureaux de poste et aux gares de départ, et puisque les facteurs ruraux seraient enchantés de trouver dans l’emploi de la bicyclette une grande économie de temps et de fatigue.
Naturellement, le Gouvernement français ne devrait accepter comme soumissionnaires que des industriels-constructeurs français ne se servant que de pièces intégralement fabriquées en France !
Voilà le vœu de tous les facteurs, de toutes les populations de la France entière, et je suis heureux d’attirer sur lui la bienveillante attention du jeune ministre du commerce, persuadé qu’il voudra bien écouter la voix d’un vieil économiste qui a la prétention de rester toujours pratique et qui, dans l’espèce, n’est que le porte-parole de tous ses concitoyens.
france pittoresque
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
Paris VI . Le Service des Postes devant le 54 de la rue Saint André des Arts en 1952 . Henri Cartier-Bresson .
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1180239145500425&set=a.275130202677995&type=3&theater
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
SOUVENIR d'un facteur aux ETATS UNIS en 1915.
https://www.facebook.com/1560218104191246/photos/a.1560232317523158/2569524826593897/?type=3&theater
Re: FACTEUR LA POSTE MAIS AVANT ...
https://www.facebook.com/photo/?fbid=1119662145324120&set=gm.1101167804105473&idorvanity=905482970340625
Bonsoir à vous qui a déjà reçu des télégrammes de naissance ou malheureusement de décès ou bien d'autres choses oui mais c'était avant
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