paludiers de Loire atlantique

Les marais salants sont le lieu de production du sel. Grâce à une succession de bassins favorisant l’évaporation de l’eau, le sel contenu dans l’eau de mer se concentre jusqu’à cristalliser et permettre sa récolte.

L’eau de mer est apportée par des étiers jusqu’aux marais salants. Ces longs chenaux de longueur variables, se remplissent en fonction des marées et des coefficients.

Le savoir-faire du paludier lui permet de maîtriser le moment idéal pour remplir un bassin appelé « vasière » grâce à un système de trappe. Ce premier bassin d’évaporation sert de réserve pour faire face aux variations du niveau de la mer entre deux marées. Il a également un deuxième rôle de décantation. En effet, l’eau issue de la mer y dépose toutes les impuretés et la vase en suspension qu’elle contient.

La récolte de sel varie en fonction des conditions météorologiques. En fonction des années, elle peut ainsi atteindre : 50 à 70 kg / jour pour le gros sel et 3 à 5 kg / jour pour la fleur de sel.

http://www.lepaludier.com/fr/salines-fonctionnement



Les marais salants sont le lieu de production du sel de Guérande. Grâce à une succession de bassins favorisant l’évaporation de l’eau, le sel contenu dans l’eau de mer se concentre jusqu’à cristalliser et permettre sa récolte.

L’eau de mer est apportée par des étiers jusqu’aux marais salants. Ces longs chenaux de longueur variables, se remplissent en fonction des marées et des coefficients.

Le savoir-faire du paludier lui permet de maîtriser le moment idéal pour remplir un bassin appelé « vasière » grâce à un système de trappe. Ce premier bassin d’évaporation sert de réserve pour faire face aux variations du niveau de la mer entre deux marées. Il a également un deuxième rôle de décantation. En effet, l’eau issue de la mer y dépose toutes les impuretés et la vase en suspension qu’elle contient.

Une fois cette première décantation faite, l’eau de vasière va parcourir différents bassins par un système de dénivellation : le cobier, les fards puis les adernes.

Paludier et paludière :

C'est l'ouvrier (ou l'ouvrière) qui travaille dans les marais salants.


Mais dans la région de Guérande, (en Loire Atlantique) le mot paludier désigne l'exploitant des marais salants ; il semble qu'il s'agit d'un mot breton passé en Français et forgé sur un terme roman, "palut" qui veut dire "marais", "marécage", d'origine latine passé en breton sous la forme de "palud ". Donc le paludier est le concessionnaire d'un palud, celui qui met en valeur les baules (vasières herbues du rivage) et les exploite.

Paluderie : partie de marais salant qu'exploite un paludier.
Gede : dans les marais salants, récipient de bois servant au transport du sel.

L'eau de mer - les marais salants

Les salines d'Eres, Ières, d'Hières et d'Hyères

http://www.histoire-eau-hyeres.fr/198-eau_mer-marais.html

une page vraiment complete avec une video

bonne lecture patrick